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Air Algérie : “les avions sont les nôtres, nous devons en prendre soin”
Un témoignage relayé sur les réseaux sociaux relance le débat sur le civisme à bord des avions d’Air Algérie.
L’histoire met en lumière un contraste de comportement entre les passagers selon les compagnies aériennes, et rappelle que la propreté est une responsabilité partagée.
Un témoignage qui interroge le comportement des passagers
Dans une publication sur sa page Facebook, Yacine Kraimia, blogueur algérien spécialistes des programmes d’immigration au Canada, pose une question directe :
Pourquoi certains voyageurs se montrent négligents lorsqu’ils prennent un vol Air Algérie, alors qu’ils adoptent un comportement beaucoup plus respectueux avec d’autres compagnies ?
Pour étayer cette interrogation, celui-ci partage une scène vécue à bord d’un vol Air Canada Rouge. Un passager y aurait quitté les toilettes dans un état déplorable, laissant de l’eau au sol et du papier partout. Devant ce désordre, une hôtesse serait intervenue immédiatement.
Une réaction ferme qui change tout
L’hôtesse aurait demandé au voyageur de retourner nettoyer l’endroit. D’abord dans la contestation, estimant que son billet lui donnait des droits, il aurait finalement obéi face à la fermeté de la membre d’équipage.
Sous sa surveillance, il aurait remis les toilettes dans un état impeccable, “plus propres qu’un avion neuf”, selon le témoignage publié par ce blogueur.
Cette scène souligne un point essentiel : à bord, chacun est responsable de la propreté et du respect des équipements. L’avion n’est pas un espace privé, mais un lieu commun qui nécessite un minimum de civisme.
Un appel à respecter Air Algérie comme un bien commun
Le témoignage se conclut par un message adressé directement aux passagers d’Air Algérie. Les avions de la compagnie nationale sont décrits comme un bien collectif qui “nous appartient à tous”.
Il appelle donc à en prendre soin, à respecter le personnel navigant — considéré comme “des frères” — et à attendre en retour le même respect.
Cette nouvelle histoire relance un débat récurrent autour du civisme en vol et de la qualité de l’expérience passager.




