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Aéroport d’Alger : vers des voyages « sans contact » d’ici fin 2025, annonce le PDG
Les passagers de l’aéroport international d’Alger Houari Boumediene pourront effectuer des « voyages sans contact » d’ici fin 2025.
C’est ce qu’a annoncé, ce lundi 15 septembre, le PDG de la Société de Gestion des Services et Infrastructures Aéroportuaires d’Alger (SGSIA).
Mokhtar Said Mediouni, a présenté, lors d’une conférence de presse, les projets ambitieux en cours pour moderniser l’aéroport international Houari Boumediene.
Des services renforcés après une saison estivale chargée
Revenant sur la gestion des flux récents, le PDG a rappelé : « Nous avons eu le Hadj, ensuite les vacances d’été. Nous avons géré tout cela avec professionnalisme et offert les meilleurs services aux usagers. »
Il a également mis en avant les nouveaux aménagements visibles pour les voyageurs, citant notamment les arrêts de bus intelligents installés autour du terminal : « Tout a été mis en œuvre pour offrir la meilleure image pour cet aéroport qui est une grande infrastructure. »
L’intelligence artificielle au cœur du futur de l’aéroport
Mokhtar Said Mediouni a annoncé que l’aéroport d’Alger sera bientôt équipé de solutions numériques avancées, telles que :
- La reconnaissance faciale
- Le e-gate et le e-border
- Le body scan
« Comme je l’ai déjà promis, nous sommes en train d’équiper l’aéroport de l’intelligence artificielle notamment la reconnaissance faciale, le e-gate, le e-border et le body scan. » a déclaré le PDG de la SGSIA.
« Nous voulons permettre, d’ici décembre 2025 inchallah, des voyages sans contact», a assuré le patron de l’aéroport d’Alger lors de sa conférence de presse. « Nous serons comme les aéroports modernes qui existent dans plusieurs pays » a t-il ajouté.
L’objectif affiché est clair : faire de l’aéroport d’Alger un hub incontournable en Afrique, tout en consolidant son rôle de passerelle vers l’Europe, l’Amérique et l’Asie.
Une équipe mobilisée 24h/24
Le PDG a également salué l’implication des équipes techniques et opérationnelles : « Lorsqu’on a un personnel qui vient le week-end ou le soir pour intervenir, c’est que nous sommes arrivés à une maturité en termes de responsabilité. »