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L’Aéroport d’Alger est l’un des plus « modernes au monde »
L’aéroport international d’Alger Houari Boumediene est l’un des plus « modernes au monde » estime le PDG de la SGSIA Mokhtar Said Mediouni.
La société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires d’Alger (SGSIA) gère l’aéroport international d’Alger Houari Boumediene.
L’aéroport d’Alger est le plus grand aéroport en Algérie, il accueille des millions de passagers chaque année qui voyagent au départ et à destination de plusieurs villes en Europe, en Afrique, en Amérique Latine, au Moyen-Orient et en Asie.
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Depuis son installation, le PDG de la SGSIA a pris plusieurs mesures afin d’améliorer la qualité des services au niveau de l’aéroport mais aussi fluidifier le parcours des passagers.
D’autres initiatives ont également été prises afin de rendre l’aéroport d’Alger encore meilleur et « plus moderne. »
C’est dans ce cadre que des accords de coopération scientifique et technologique ont été signés entre la SGSIA et l’Université des sciences et technologies Houari Boumediene, l’école supérieure d’intelligence Artificielle et l’école Nationale de Mathématiques.
« Il y a des aéroports en Europe qui n’ont pas les moyens de l’aéroport d’Alger »
S’exprimant, ce mardi 4 juin, au cours de la cérémonie de signature de ces accords de coopération, le PDG de la SGSIA a affirmé qu’il est aujourd’hui « à la tête de l’un des aéroports les plus modernes dans le monde. »
« Il y a des aéroports en Europe qui n’ont pas les moyens de l’aéroport d’Alger. C’est pourquoi les accords avec ces écoles va nous permettre de développer de nouvelles solutions technologiques car on doit réfléchir pour la gestion d’un aéroport en 2030 ou 2040 » a déclaré le patron de l’aéroport d’Alger, selon une vidéo publiée par La Patrie News.
« Le Hub d’Alger dont a parlé le Président de la République Abdelmadjid Tebboune est réel. Aujourd’hui, nous enregistrons du trafic qui vient de l’Europe vers l’Afrique en passant par Alger. On devient incontestablement une plaque tournante et une grande plateforme aéroportuaire. » affirme le même responsable.
« Pour être au diapason de ces demandes, il faudrait développer des technologies. Chaque minute qu’on perde, on perd de l’argent. Même lorsqu’un avion décolle en retard, nous payons des pénalités. Fluidifier les passages, sont des solutions qui sont données par l’intelligence artificielle. On peut fluidifier les passages par la reconnaissance faciale » a t-il ajouté.