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Tourisme: Deux médias consacrent des reportages à l’Algérie
Temps de lecture estimé : 2 minutes
Les célèbres médias internationaux BBC et The Washington Post ont consacré des reportages au tourisme en Algérie.
Dans un long reportage intitulé « les villes fortifiées aux confins du Sahara », La chaine britannique BBC s’est intéressée à la Vallée du M’Zab avec ses « ksours », ses endroits touristiques et ses palmeraies, rapporte l’agence APS.
La BBC s’intéresse à la Vallée du M’Zab
Dans son reportage, relate l’APS, l’auteur a évoqué les « magnifiques citadelles construites le long du Oued M’zab, un lit de rivière partiellement asséché dont les eaux ne montent qu’une fois tous les trois à cinq ans ».
L’auteur du reportage a également mis en exergue la solidarité communautaire et la tolérance qui distinguent les habitants de la vallée du M’Zab.
Au-delà des sites touristiques et des valeurs de ses habitants, le reportage de la BBC s’est également intéressé aux habits traditionnels notamment le « haïk » pour les femmes et les « sarouel loubia » pour les hommes.
The Washington Post: A la découverte de la Casbah d’Alger et des ruines de Timgad
De son côté, le célèbre journal américain The Washington Post a consacré un reportage à la destination Algérie de la Casbah d’Alger à Constantine en passant par Timgad et Djemila et enfin le Sud algérien, selon l’APS.
Le journaliste auteur du reportage, qui a déjà visité plus de 100 pays, a entamé son voyage en Algérie par la Casbah d’Alger qu’il décrit comme « un labyrinthe délabré de ruelles. »
Après Alger, le journaliste est parti à la découverte de Constantine, la ville aux ponts suspendus, qu’il décrit, selon l’APS, comme « un grand rocher ou une grande falaise avec un promontoire calcaire, qui culmine à des centaines de mètres au-dessus du Rhumel. »
Après Constantine, l’auteur du reportage a été « émerveillé » par les ruines de Timgad et Djemila qu’il qualifie de « merveille archéologique », selon l’APS.
Enfin, le journaliste américian a terminé son périple au Sud Algérien où il a découvert « des villes-oasis où jaillissent des mers de sable et des étendues de topographie désertiques capables de faire pleurer de joie tout visiteur et touriste. »